21°EDITION - 14/15 SEPTEMBRE 2013 - CHEVANNES (91)
Dans la famille Fournier, Philippe, le père — Un vétéran
"J’ai participé à 18 éditions des 24 Heures. Pour la première, en 1993, j’avais le choix : me marier, ou faire les 24 Heures. Je me suis marié ! N’empêche, je suis un des vétérans de Chevannes. Évidemment, j’ai accumulé pas mal de souvenirs durant ces deux décennies, comme ma toute première participation, ma 7e place au général en 2005 ou encore une grosse bagarre dans le cadre du championnat qui s’était terminée par une casse moteur ! Sur 18 participations, j’ai passé la ligne d’arrivée à 14 reprises et ce résultat d’ensemble est plutôt flatteur, non ? J’ai été concessionnaire Toyota pendant longtemps, ce qui m’a amené à participer aux 24 Heures, comme pilote mais aussi en tant que professionnel de l’automobile. Outre l’ambiance, la convivialité et le caractère de la course elle-même, la proximité immédiate de Paris m’avait vivement intéressé — et cela reste un avantage, plus que jamais !"
Dans la famille Fournier, Alexandre, le fils — La course la plus sympa
"J’ai été le plus jeune pilote à prendre le départ des 24 Heures : c’était en 2010, et j’avais 16 ans + 1 mois. Depuis, j’ai participé aux éditions suivantes et cette année, à 19 ans, je figurerai encore parmi les plus jeunes ! Ce qui m’attire à Chevannes ? Le circuit : par sa longueur et son tracé, il est vraiment super. L’épreuve : c’est la seule du championnat sur 24 heures, la seule qui réunisse autant de concurrents et il y a ce second départ de nuit en sens inverse — c’est vraiment la course la plus sympa ! Quant au fait de courir avec mon père, c’est génial, ce qui ne m’empêche pas de vouloir faire de meilleurs chronos que lui !"
Jean-Jacques Deverly, équipier des Fournier — L’alchimie des 24 Heures
"Je suis l’un des six pilotes à avoir participé à toutes les éditions des 24 Heures, et j’aurai grand plaisir à retrouver mes cinq petits camarades à Chevannes dans quelques jours ! Cette course est totalement atypique, elle a toujours mélangé les genres avec des pilotes de grand renom, de purs amateurs, des gens du showbiz, des pilotes qui font là leur seule course de l’année, d’autres qui se battent dans le cadre du championnat de France. Je salue Jean-Louis Dronne, qui réussit depuis 21 ans cette belle alchimie, qui parvient même à l’améliorer encore — je pense au second départ de nuit, c’est un peu comme de s’engager sur un ‘nouveau’ circuit. Cela, aussi, fait partie de la magie des 24 Heures."